Celebration of Anniversary at the Exterior Altar before St. James Church Photos.
Photos taken during the Easter.
Photos from winter times.
Le soir du 24 juin 1981 à Bijakovici, hameau de la paroisse de Medjugorje, le ciel s’est ouvert. Rien de nouveau et tout nouveau... Dans les âmes des chrétiens tout était déjà connu, et cependant voilà que se manifeste une nouveauté et tout prend vie. Foi, espérance et charité se réveillent et activent la vie divine dans les personnes.
Cette nouveauté pour les uns devient vie, pour d’autres obstacle. Pour mieux dire, la Vierge vivante parmi les hommes, pour quelques-uns devient joie, alors que quelques autres voudraient la supprimer. Le jubilé dans le peuple de Dieu devient inspiration et promotion de foi, alors qu’en ceux qui ne croient pas s’insinue la peur du peuple « libre en Dieu ». Le Seigneur se montre vivant à son peuple et, comme toujours, il devient signe de contradiction.
La Reine de la Paix conclut son message en nous remerciant “d’avoir répondu à son appel”. En effet, Elle est en train de nous appeler avec une passion maternelle affligée, tous les jours depuis vingt-cinq ans: “Chers enfants, je ne me lasse pas, et je vous appelle, même si vous êtes loin de mon cœur… » ( Mess. 14.11.1985 ).
P. Andrea Gasparino de Cuneo est un maître de prière bien connu. Dans ses nombreuses instructions il se déclare toujours ennemi de la prière 'verbeuse'. Le Rosaire - avec sa répétition de formules - pourrait facilement devenir une récitation vide. Voici comment ce prêtre répond avec une extrême clarté à quelques questions posées par des auditeurs de Radio Maria (16.06.99).
Pour le 23ème Anniversaire des apparitions, de grandes foules sont venues à Medjugorje. Quelle heureuse surprise ce fut pour tous d'entendre le beau message donné par la Gospa à cette occasion (voir message du 25 juin ). La joie du Ciel était au rendez-vous et se lisait sur les visages !
Nous attendons notre troisième fils, mais la grossesse ne se déroule pas selon nos prévisions et on m’a demandé le repos absolu. Cependant c’est une période où tout en expérimentant toutes les limites du corps, je vois que, dans ma condition d’immobilité l’esprit peut s’élargir de plus en plus. Et alors je vis ce moment également avec grâce, parce que l’amour a deux côtés: le premier c’est la joie et l’élan à donner, dans une donation qui cependant comprend aussi la croix. Mais quand la croix est vécue, la joie devient encore plus profonde. De cette façon tout se remet en place. Il semble que la vie doit couler douce pour être vraie, c’est ainsi que nous l’imaginons. Je comprends au contraire de plus en plus que la souffrance est la vraie vie. Je peux dire alors qu’en ce moment, je vis cette ‘vraie vie’.
On définit programmatique la première lettre encyclique d’un pape, sorte de déclaration sur le style que le successeur de Pierre désire donner à l’Eglise pendant les années où elle lui est confiée. Et comment ne pas voir déjà dans le titre du document du pape Benoît la volonté de repartir des fondements du christianisme: Dieu est amour (lJn 4,16) en faveur d’une humanité toujours plus divisée dans l’océan des options diverses proposées par la société, et qui a besoin de rails sûrs pour arriver à Dieu.
C’est avec Elle qu’il termine son encyclique, avec Marie, « Mère du Seigneur et miroir de toute sainteté ». C’est à elle qu’il dédie les derniers paragraphes de sa lettre sur l’amour, à Marie qui a tissé d’amour chaque instant de sa vie et qui de l’Amour est devenue la mère. Mais laissons s’inscrire directement les paroles dont se sert le Saint Père: elles sont pleines de grâce et de tendre amour pour la petite femme de Nazareth.
Au-delà de toute pensée et imagination. Au-delà de nos capacités et de nos mérites. Au-delà des projets et des rejets. C’est ainsi que Marie se rend présente à Medjugorje. Et elle le fait en dehors de notre logique. Audelà de toute volonté de la garder ou de l’ignorer. Au-delà de toute loi humaine et de toute raison. Depuis presque 25 ans la Vierge visite de cette façon ses fils, encore insérés dans le temps et dans l’espace pour les aider à en franchir les confins. Dès main-tenant. Ici sur cette terre.
Du point de vue de mon passé à Medjugorje, en ce moment il n’y a pas beau-coup de choses qui me reviennent à l’esprit. Depuis 1985, je me suis peu à peu retiré de Medjugorje pour vivre dans la contemplation. Au fur et à mesure que j’entrais dans un rapport plus profond avec Dieu, s’ouvrait la mémoire de mon âme, cet espace où l’Esprit-Saint assumait de plus en plus le rôle d’acteur principal et révélait le Mystère. Dans ce souvenir ce ne sont pas tant les phénomènes de Medjugorje en tant que tels qui sont présents, mais plutôt la vérité divine de Dieu vivant et vrai, de la Mère de Dieu qui est présente en nous et qui opère en nous. C’est là la vérité accueillie par l’Eglise.
Dans le message du 25 juillet 2005 , la Vierge à Medjugorje a dit: «Chers enfants, je vous invite à remplir votre journée avec de courtes et ardentes prières». Il y a d’innom brables prières courtes et ardentes, et probablement chacun de nous a la sienne qu’il préfère et qu’il veut dire plus souvent.
Découvrir leur origine serait un travail ardu, mais je crois qu’on peut dire que toutes sont inspirées de l’Amour, par amour, amour pour les âmes et pour chacun de nous. Il s’agit des oraisons jaculatoires. Il y en a une très belle, inspirée à la Servante de Dieu, Sr Maria Consolata Betrone.