Pascale Gryson-Selmeci, une brabançonne mariée et mère de famille, témoigne de sa guérison survenue à Medjugorje le vendredi 3 août, après avoir communié lors de la messe. Souffrant d’une leuco- encéphalopathie, maladie rare et incurable dont les symptômes s’apparentent à ceux de la sclérose en plaques, elle a participé au pèlerinage organisé fin juillet, à l‘occasion du festival des jeunes. Patrick d’Ursel, l’un des organisateurs, a été témoin de cette guérison.
Selon les témoins, cette habitante du Brabant wallon était malade depuis 14 ans, ne pouvant même plus s’exprimer. C’est après avoir communié que Pascale a ressenti une force. A la surprise de son époux et de ses proches, elle s’est mise à parler et… se leva de sa chaise ! Patrick d’Ursel a recueilli le témoignage de Pascale Gryson.
"Mon dernier pèlerinage à Medjugorje a changé ma vie. Dès le début du pèlerinage, la Gospa m'a révélé que je devais prier pour avoir la paix dans mon âme. Je me suis rendu compte que même si, dans le passé, je priais, je croyais et j'avais bénéficié de beaucoup de miracles, je n'avais toujours pas la paix intérieure. Il m'était difficile de prier avec amour et de vivre ce que je disais.
Aussi, pendant le reste du pélerinage, je mis de côté chacune de mes intentions et priai seulement pour avoir la paix dans mon âme. Cela rendit ma prière beaucoup plus facile. Je n'avais plus besoin de me forcer à penser vraiment les paroles que je disais. La paix intérieure qui m'était donnée en retour, me permettait de prier vraiment avec le coeur!
« J'ai été élevée à New York, dans une famille luthérienne et fervente, et j'ai toujours cru en Dieu. Mais, à l'adolescence, j'ai rejeté toute religion organisée, pensant que cela était créé de toutes pièces par l'homme et non par Dieu. Après m'être mariée avec Eddy et avoir accepté à contrecoeur que nos enfants soient élevés dans le catholicisme, je lui dis : " Ne compte surtout pas sur moi pour devenir catholique un jour ! Il faut être né dedans, ou sinon il faut être fou pour choisir ça volontairement.
« Heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru » Jn 20, 29
Témoin de la première heure du miracle de Joëlle, j’ai suivi et suis toujours avec Luc le développement de sa guérison. C’est pourquoi, avec l’accord de Joëlle, je vous livre mon témoignage que voici, un peu long mais j’ai senti qu’il fallait vous le donner ; à vous de décider de la faire suivre.
Pour savoir ce que vivent les jeunes quand ils se sentent appelés à découvrir l'amour de Dieu il est necessaire de demander à qui a personellement fait cette experience. Dans un interview frère Jean Uriel Frey, membre de la communauté des Béatitudesl nous raconte sa conversion qui a eu lieu à Medj. et comment il a mis son "trésor" à disposition des autres jeunes.
Je me souviens encore de la première fois que j’ai trouvé L’Echo de Marie dans la chapelle souterraine de l’église gréco-catholique de ma ville. C’était en 1997, dans une petite ville du centre-nord de Roumanie et je n’avais pas encore 17 ans. Pour moi qui avais faim d’une parole vivante et besoin de rencontrer des gens éprouvant la même soif d’éternel, ce petit journal a été un très grand don. J’ai senti tout de suite que ces messages de la Vierge me nourrissaient, me libéraient, m’immergeaient dans une Lumière qui comblait tout en moi. Et puis les articles où les gens parlaient de leur expérience de Dieu ou bien racontaient des événements quotidiens—ou particuliers— de la vie de l’Eglise, me comblaient d’une joie immense car je comprenais que je n’étais pas la seule à vivre ce grand désir de Dieu, de sainteté, de don complet de ma vie, mais que je faisais partie d’un corps, du Corps du Christ qui tendait de toutes ses énergies vers le Père.
Pendant les cinquante jours au cours desquels l’Eglise célèbre le mystère de la résurrection, un grand nombre de pèlerins viennent à Medjugorje; parmi eux, les journalistes de la Radio «Mir» Medjugorje ont rencontré quelques interlocuteurs très intéressants. Un prêtre Coréen, Kim Yong Hwan, raconte qu’il a entendu parler de Medjugorje pour la première fois en 2001, l’année où il fêtait ses 25 ans de sacerdoce. Cette année était pour lui un temps de grande crise car il sentait un grand vide dans sa vocation sacerdotale.
Je m'appelle Candace Evans, j'ai 43 ans et j'habite le New Hampshire (Etats-Unis) avec mon mari et mon fils de neuf ans. Mes parents, tous deux décédés, étaient juifs. Ma mère était athée. Nous ne parlions jamais de religion à la maison. Ainsi je n'ai reçu ni formation ni enseignement spirituel dans mon enfance, ni plus tard à l'âge adulte.
Ruth vient d'une famille athée et, à 28 ans, ne savait encore rien de Dieu. Un jour, Dieu se révéla à elle et elle vécut une profonde conversion. Elle fut baptisée durant la Vigile Pascale de ce Grand Jubilé, après 18 mois de catéchuménat où Medjugorje joua un rôle décisif.
En 1990 je suis allé à Medjugorje pour la première fois. J’étais curieux d’observer ce phénomène extraordinaire des apparitions de Marie et j’avais tant envie d’apercevoir moi aussi cette présence pour pouvoir me sentir accueilli et choisi par Elle. J’ai toujours aimé le Seigneur et j’ai vécu, déjà tout petit, cette relation, me confiant toujours à Lui. J’ai aussi beaucoup péché dans ma vie, mais je dois dire que cela ne m’a pas empêché de revenir toujours à Dieu, parce que ce sont les malades qui ont besoin du médecin.
Notre cher ami Roberto G., qui accompagne des groupes de pèlerins mexicains à Medjugorje depuis des années, nous a transmis cet extraordinaire témoignage de Carmen, qui habite près de Valle Tamaulipas (Mexique). Elle faisait partie du groupe de pèlerins qu'il accompagnait à Medjugorje pour le 20ème Anniversaire des Apparitions en juin dernier. Voici ce qu'elle lui dit :
"D’après moi, ce qui a frappé mon groupe de pèlerins est la piété et la dévotion des habitants de Medjugorje, la foi, et les témoignages que nous avons reçus. Nous avons vu des gens qui prient, qui croient et vivent leur expérience chrétienne de foi et d’amour. Ils ont le feu. C’est magnifique. Je n’aurais rien pu espérer de plus. J’ai essayé dans mon diocèse toutes sortes de choses pour transformer les gens - parce que nous vivons dans une société dysfonctionnelle - et j’ai dépensé des milliers et des milliers de dollars en sessions et ateliers divers. Et je peux vous dire qu'avec tout cet argent je n’ai pas même accompli dix pour cents de ce qui a été réalisé avec ce seul pèlerinage ! Alors vous avez là devant vous quelqu’un qui promouvra Medjugorje - certes pas officiellement, mais qui promouvra quand même !
20 octobre 2005, 5 heures. Avec deux amis et compagnons dans la vie spirituelle commence mon voyage vers Medjugorje: c’est le jour où j’entre dans la communauté «Kraljice Mira». Les longues heures du trajet laissent le temps aux pensées et aux émotions de se succéder: quelles étapes m’ont conduit à cette décision?
Je reviens en arrière à la période avant l’été 1998, année où Marie m’a préparé deux rencontres spéciales avec Elle et avec son Fils. La première fut un pèlerinage en Espagne sur les tombes de Ste Thérèse d’Avila et de St Jean de la Croix, et à Garabandal, lieu d’apparitions mariales entre les années 1960 et 64. De là, à peu de semaines de distance, il y eut un second voyage à Medjugorje, le premier pour moi dans ce pays.
Vite après le début des apparitions de la Reine de la Paix, le grand public avait appris que les prêtres diocésains et les franciscains du diocèse de Mostar n'étaient pas d'accord au sujet de certaines questions. Ce conflit a été ouvert il y a cent ans et dure malheureusement encore aujourd'hui. Au niveau local, il n'était pas si grave, si le diocèse de Mostar n'était pas dans une région où les religions, les cultures et les civilisations se rencontrent, et au niveau mondial, il n'avait aucune signification, s'il ne s'agissait pas du diocèse où la Gospa était apparue. Ce conflit influence aussi la position de l'Eglise locale et de toute l'Eglise croate envers les apparitions. Il suffit de se souvenir qu'au début, l'évêque local, Mgr Zanic, croyait à l'authenticité des apparitions, mais que, pour des raisons inconnues, il avait changé sa position. En raison de la collégialité épiscopale, les évêques croates préfèrent depuis ne pas en parler. De nombreux personnages de l'Eglise ont suivi leur exemple, mais il y avait toujours des exceptions significatives.
Parmi les hôtes de Vicka et Mario pour leur mariage, Térésa, de Sicile (62 ans), nous a raconté :
"Je suis la douzième de 14 enfants. Mon père blasphémait contre Dieu et il nous battait, ma mère et les enfants. Nous avions faim, nous dormions à trois dans le même lit. A 9 ans, j'ai reçu l'appel à me faire religieuse, mais mon père ne l'a pas permis car il voulait que je travaille pour aider ma famille. Je me suis mariée et me suis attiédie dans la foi. Mon mari croyait peu mais nous allions à la messe du dimanche.
Quelle que soit la circonstance qui nous conduit à Medjugorje, nous avons été appelés. Et moi, moniale cloîtrée qui par suite de problèmes de santé a été conduite à ce lieu saint - avec toutes les permissions requises, évidemment - et hébergée dans une maison de prière de la nouvelle Communauté de vie contemplative "Reine de la Paix, complètement Tiens…", avec une immense gratitude je me demande encore à qui je dois ce bonheur que la Mère de mon Seigneur m'ait appelée à Elle. Très fort était mon lien affectif avec la Mère de Dieu qui, quelques fois s'était faite présente dans ma vie, même de manière sensible, et c'est peut-être pourquoi je n'éprouvais pas le besoin de la chercher. Mais, dans la sensation de me trouver dans un tunnel obscur tandis que mon existence entière était compromise - y compris ma vocation religieuse - je me confiai de nouveau à Elle en lui remettant ma santé de manière particulière.
Colette est française, son mari, anglais, et ils ont deux filles nées aux Etats-Unis.
"Nous vivons actuellement en Pennsylvanie. Notre famille n'est, ou plutôt, n'était pas très croyante. Mon mari et moi avions eu tous deux des expériences malheureuses avec l'Église catholique et nous étions heureux d'en rester aussi loin que possible. Pourtant en mars 2003, quelque chose de vraiment étrange se produisit. Le 17 mars, au moment où la guerre était sur le point de commencer, je me suis réveillée absolument convaincue que le monde courait à sa perte et que je devais faire deux choses :
Un chant vivant et rythmé qui sort d’un coeur joyeux et qui enveloppe l’esprit et tout le corps dans une expression de louange. Des dizaines de langues différentes, des prières dans les formes les plus variées, des centaines de couleurs, des milliers de voix... Un quelque chose de neuf et d’unique ici à Medjugorje et à quoi sans doute les pèlerins les plus « traditionnels » ne sont pas habi- tués, mais sûrement quelque chose de vivant qui vous invite à ne pas vous isoler et à entrer pour participer à ce corps unique qui n’est autre que le printemps de l’Eglise, le Corps mystique du Christ.